Nato a Ginevra.
Diplomato presso la Scuola Magistrale di Lugano, poi laureato in filosofia all'Università degli studi di Pavia.
Insegnante e autore vive tra la Svizzera e la Francia.
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Jean-Claude Pelli
Per la saggistica ha pubblicato il volume:
WITTGENSTEIN. INESPRIMIBILE E FILOSOFIA, Firenze Atheneum, Firenze 2003.
Sue raccolte poetiche edite in Italia, Francia e Svizzera:
EFFEMERIDE DI UN TRAPASSO e altre poesie, Quaderni di differenze, Argalìa, Urbino 1977.
SILENZI E TEMPO, Libroitaliano, Ragusa 2001.
L'ÂGE DE L'ÉTERNEL, La Pensée Universelle, Paris 1998.
FRONTIÈRES DES MOTS, Éditions Librairie-Galerie Racine, Paris 2002.
L'ÂME DU PÈRE-LACHAISE, Éditions Librairie-Galerie Racine, Paris 2007.
INFINITO PRESENTE, Edizioni Ulivo, Balerna 2008. Introduzione di F. Zambelloni. Menzione a Verona, nell'ambito del premio di poesia "Lorenzo Montano" associato alla rivista di ricerca letteraria Anterem.
Romanzi:
AUTOREVOLE AMORE, Edizioni Joker, Novi Ligure 2009.
www.edizionijoker.com
TRA DOTTI OCCHI DA DEMONIO, Edizioni Joker, Novi Ligure 2010.
Altre pubblicazioni:
IN TEMPO A CASA DEL DIAVOLO, racconti e teatro, Edizioni Joker, Novi Ligure 2014
LE COURAGE DE DIRE OUI, Editions Bussière, Paris 2015
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saranno molto graditi.
Jean-Claude Pelli / e.mail: pejeclau@swissonline.ch
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Jean-Claude Pelli / e.mail: pejeclau@swissonline.ch
Le petit bruit de l'oasis, ou rue Réaumur
Ils ont enchanté ta maison flamboyante,
Ils sont partis et tu ne vois plus leurs traces.
Beaucoup de journées prennent alors la fuite,
Ils t'ont laissé seulement le passage du passé.
Toi tu es sûre et tu as ri, dans
Un tour du carrousel et dans ton sens
Désormais vieux. Et tu rappelles le jour
Où ta demeure avait ces espaces
Pour s'endormir. En écoutant là-bas
Peut-être tu te seras même réveillée,
Tu penseras aux gentillesses d'ûn monde
Évanoui, sous les douces crèches
De temps en temps. Et ici, dans les
Yeux de la campagne, tu cherches
Encore cette illusion antique défaite
Et tu ne sais même pas que tu n'es plus.
Ils ont enchanté ta maison flamboyante,
Ils sont partis et tu ne vois plus leurs traces.
Beaucoup de journées prennent alors la fuite,
Ils t'ont laissé seulement le passage du passé.
Toi tu es sûre et tu as ri, dans
Un tour du carrousel et dans ton sens
Désormais vieux. Et tu rappelles le jour
Où ta demeure avait ces espaces
Pour s'endormir. En écoutant là-bas
Peut-être tu te seras même réveillée,
Tu penseras aux gentillesses d'ûn monde
Évanoui, sous les douces crèches
De temps en temps. Et ici, dans les
Yeux de la campagne, tu cherches
Encore cette illusion antique défaite
Et tu ne sais même pas que tu n'es plus.
